Mathieu a terminé son film Le Grand Ordinaire à peu près quand je finissais Barge.
A la base des deux projets, livre et film, et dans l’énergie qui les a nourris, on trouve l’envie de croiser nos deux récits, de les faire ricocher et se répondre, laisser les ponts jaillir au-delà des typologies médicales étroites qui voudraient que névrose et psychose soient inconciliables.